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| OM 2-1 BRANN | |
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betty 13 Admin sur kiss-tchat
Nombre de messages : 902 Age : 52 Localisation : Marseille Emploi/loisirs : Aide soignante Humeur : Toujour prète à aidé sont prochain Date d'inscription : 27/09/2007
| Sujet: OM 2-1 BRANN Jeu 28 Aoû - 11:03 | |
| L'OM ET SES SUPPORTERS EN LIGUE DES CHAMPIONS Vainqueurs à l’aller, les Olympiens ont obtenu leur billet pour la Ligue des Champions en battant Bergen, au terme d’un match à sens unique. Une qualification plus que jamais dédiée aux supporters. Cette fois, ça y est. L’OM y est pour de bon. Les Olympiens ont validé définitivement leur ticket pour la Champions League, concrétisant les efforts de leur formidable remontée la saison dernière. L’oblitération n’a pratiquement pas été contestée. La supériorité marseillaise ne faisait pas l’ombre d’un doute. Tout juste l’OM a-t-il du fermer les écoutilles dans le dernier quart d’heure après l’égalisation de Sigursson, de la tête Revenus de nulle part, les Norvégiens tentèrent bien-sûr un va-tout de la dernière chance, mais sans que Mandanda ne soit véritablement en danger. L’injustice aurait été terrible pour des Olympiens qui jusque là avaient dominé de la tête et des épaules les pourtant athlétiques Vikings. C’est bien simple, quiconque n’aurait pas eu connaissance du score du match aller aurait pu croire que c’était aux Phocéens de marquer. Et non à leurs prudents visiteurs. Car la rencontre fut à sens unique. Et ce sens alla très clairement droit en direction des buts d’Opdal. A l’exception d’un sauvetage de Mandanda devant Solli, les joueurs de Brann Bergen ne purent opposer qu’une résistance. Leur destin ne tint qu’à un fil. Mais il tint un bon moment. Taiwo alluma plusieurs mèches. Ben Arfa mystifia à peu près tout ce qu’il rencontra sur son chemin. Des frappes de Ziani et Grandin rasèrent les montants. Mais point de but pour parachever. Ni ôter l’ultime espoir aux hommes de MoAu final, il intervint sur l’action la plus anodine. En tout cas la plus simple, a priori, à négocier pour les lignes resserrées de Brann Bergen. Taye Taiwo avait sorti le télescope pour servir à l’autre bout du terrain Mamadou Niang. Mais deux défenseurs semblaient lui fermer la route. C’était sans compter sur la malice du Sénégalais. Il misa sur une tergiversation. Il eut raison. Il s’engouffra fougueusement dans la brèche, pour être le premier sur le ballon, devancer le portier et ouvrir le score dans le but vide (1-0, 66e). A genou, les index pointés vers le ciel, il dédia sa réalisation à Imad et Lahcen. Un nouvel hommage dans cette journée si particulière, où l’enceinte avait marqué son deuil en revêtant de noirs habits. Et dont les tribunes restèrent silencieuses jusqu’au coup d’envoi, avant que les voix ne s’élèvent à nouveau des gradins. L’égalisation norvégienne provoqua quelque trouble. Mais guère plus. D’autant que dans le temps additionnel, Mamadou Niang eut encore du nez, et surtout la détermination nécessaire pour anticiper une remise mal assurée vers le gardien, surgir et le battre une deuxième et dernière fois du bout des crampons (2-1). Et les étoiles, de la Ligue des Champions et des supporters partis trop tôt rejoindre le ciel olympien, de briller intensément…ns Mjelde. | |
| | | betty 13 Admin sur kiss-tchat
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| Sujet: Re: OM 2-1 BRANN Ven 29 Aoû - 0:05 | |
| Historique de l'OM04/08/06 - Histoire La légende de l'Olympique de Marseille de 1899 à nos jours... 1899. La légende écrit sa préface. Le ballon rond s’installe à Marseille. Le début du XXe siècle est dominé par les clubs parisiens. L’OM se dresse le premier pour stopper cette hégémonie. En 1924, il chamboule, non sans fierté, la hiérarchie en s’imposant 3-2 en finale de la coupe de France, contre le FC Cette. Son premier trophée national fera vite des petits. Les Olympiens récidivent en 1926 et 1927. La pléiade d’internationaux français qui composent l’effectif phocéen fait des ravages. Rien n’arrête les Alcazar, Allé, Crut, Devaquez, Gallay, et Jean Boyer. 1929 voit d’ailleurs l’OM décrocher le titre de champion de France. En 1932, le club s’engage dans une nouvelle ère. Celle du professionnalisme. La coupe revient sur la Canebière en 1935 (victoire 3-0 contre Rennes), les lauriers du champion aussi (en 1937) avant qu’un cinquième succès, en 1938, ne vienne placer l’OM en position de recordman de la coupe de France. Statut renforcé en 1943 (4-0 en finale contre Bordeaux). A l’exception notable d’une nouvelle couronne de champion de France en 1948, l’après-guerre ne sourit d’abord pas aux Marseillais. Malgré la perle noire Larbi Ben Barek. Malgré l’unique Gunnar Andersson et ses 169 buts inscrits sous le maillot blanc. Le bleu et le blanc se colorent à l’encre triste. A la fin de la saison 1958/59, l’équipe chute en deuxième division. Les « sixties » seront sombres. Le public tourne le dos à son OM. La désaffection est telle qu’à peine 434 spectateurs sont au Stade Vélodrome le 23 avril 1965 pour la réception de Forbach. L’arrivée aux commandes de Marcel Leclerc marque le début du renouveau. Le volubile président a de l’argent (un peu) et surtout une solide volonté à réussir. Le recrutement Josip Skoblar et Roger Magnusson tire la formation vers les sommets. Le coaching avisé de Mario Zatelli fait le reste. En 1969, Marseille est en liesse. 150 000 personnes attendent les vainqueurs de Bordeaux en finale de la Coupe de France. Le titre de 1971, le doublé de 1972, le soulier d’or européen pour Skoblar (44 buts en un championnat), le défi lancé à l’Ajax d’Amsterdam. L’OM se couvre de gloire et déchaîne les passions, en étant le seul club à oser concurrencer l’AS Saint-Etienne. La page Leclerc se tourne difficilement. Les Marseillais ne se signalent plus que par une coupe de France conquise en 1976 contre Lyon. Pis, ils descendent en deuxième division en bout de décennie, et la disparition du club sera même un temps susurrée. Les dettes se sont accumulées, et la survie ne tient qu’à un fil. Heureusement il est entre de bonnes mains, celles des «Minots». Les jeunes du club sauvent leur OM, et lui font même la courte échelle vers l’élite en 1984. Un nouvel âge d’or débute alors, à l’arrivée de Bernard Tapie deux ans plus tard. De 1989 à 1993, l’Olympique de Marseille rafle tout sur son passage. Papin, Waddle, Pelé, Francescoli, Stojkovic. Les artistes sont en blanc. Et les supporters rêvent comme jamais. La suprématie est totale (cinq titres de champion, une coupe de France). Aucune miette n’est laissée alors que l’ambition s’appelle désormais Europe. L’échec de Bari (après l’élimination de l’AC Milan en quarts de finale) face à l’Etoile Rouge de Belgrade ne calme pas ces ardeurs. Le 26 mai 1993, Basile Boli offre la première (et seule) Ligue des Champions à la France d’un coup de tête magistral face au grand Milan. Treize années se sont depuis écoulées. Le club a survécu à sa rétrogradation en D2 après l’affaire VA-OM. Une place de dauphin en 1999, deux finales de coupe de l’Uefa en 1999 (contre Parme à Moscou), en 2004 (contre Valence à Göteborg), et une de coupe de France en 2006 contre Paris sont venus pimenter ses saisons. La légende continue… | |
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| Sujet: Re: OM 2-1 BRANN Dim 31 Aoû - 14:27 | |
| Olympique de Marseille 2 - 1 FC Sochaux-Montbéliard Marseille grâce à Mandanda L'Olympique de Marseille (OM) a remporté samedi soir au stade Vélodrome une victoire difficile (2-1), grâce notamment à un Steve Mandanda impérial, face à un FC Sochaux méritant qui se retrouve en difficulté au classement Dans un stade de nouveau pavoisé de noir, en hommage aux deux supporteurs décédés dans un accident de bus le 23 août, les deux clubs se sont livré un âpre combat Les duels étaient rugueux dès l'entame, les hommes de Francis Gillot, à l'image de Dalmat, n'étant pas venus pour défendre. Le capitaine sochalien se voyait d'ailleurs sanctionné d'un carton jaune (22e) pour une charge façon rugby sur Bonnart L'OM n'était pas en reste, Cheyrou récoltant la même sanction quelques minutes plus tard (30e). Dans le jeu, les Marseillais se montraient les plus entreprenants mais sans que leurs incursions dans le camp adverse ne soient véritablement dangereuses. C'est de Ziani qu'allait venir l'éclair permettant aux Olympiens d'ouvrir le score. Seul à l'entrée de la surface, à droite du but sochalien, il décochait un missile, dans un angle très fermé. Face à la puissance de la frappe, Richert ne pouvait que repousser le ballon dans ses propres filets (1-0, 39e). Festival Mandanda Au retour des vestiaires, les Sochaliens se montraient les premiers dangereux. En contre-attaque, Isabey se retrouvait seul face à Mandanda mais le gardien marseillais gagnait son duel (58e). Le premier d'une longue série. Les Marseillais se montraient ensuite plus pressants qu'en première période. Niang, déboulant côté droit, centrait pour Koné, idéalement placé et libre de tout marquage. L'ancien Niçois trompait Richert d'une belle reprise de volée (2-0, 61e). Lancé pleine course, Koné manquait le doublé, son lob étant détourné du bout des doigts par Richert (70e). C'est finalement Sochaux qui revenait au score. Erding, hors-jeu, partait tromper Mandanda (2-1, 73e). Le même Erding profitait d'une passe en retrait hasardeuse de Zenden, sur laquelle Hilton glissait, pour se retrouver une nouvelle fois seul devant Mandanda mais le nouveau gardien des Bleus s'imposait et détournait du pied droit (85e). Avec déjà deux défaites au compteur cette saison, les Sochaliens allaient continuer à presser dans les dernières minutes, pour essayer de décrocher le nul. Ils n'étaient pas loin d'y parvenir dans le temps additionnel. Sur un centre de Maurice-Belay, Erding, de nouveau, s'élevait et plaçait une tête que Mandanda parvenait, encore, à détourner au ras du sol. L'OM pouvait souffler... | |
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| Sujet: Re: OM 2-1 BRANN Mer 17 Sep - 0:26 | |
| Humilié 4-0 la saison passée, l'OM a de nouveau concédé une défaite logique face à Liverpool (2-1), mardi, dans le cadre de la 1ère journée du groupe D de la Ligue des Champions. Le Vélodrome y a cru pendant trois minutes, avec l'ouverture du score de Cana (23e). Mais Gerrard, le capitaine emblématique des Reds, a égalisé d'une puissante frappe (26e), avant de transformer un penalty obtenu par Babel (32e). Ben Arfa et Valbuena, tous deux à court de forme, n'ont pas su renverser la tendance, installant l'équipe de Gerets en mauvaise posture avant le déplacement à Madrid, contre l'Atlético, dans deux semaines. Le film du match. Et dire qu'il faudra déjà faire un exploit à Madrid, dans deux semaines, contre l'Atlético, leader du groupe après sa puissante victoire sur le terrain du PSV Eindhoven (3-0). " Petites erreurs, grandes conséquences. Tu ne peux pas te permettre ce genre d'erreurs contre une telle équipe", peut concéder Erik Gerets, qui n'a pas vu son OM prendre l'eau, comme la saison passée (4-0), mais tout de même perdre contre Liverpool (2-1). Le réveil en fin de match ne fut pas suffisant... La route européenne, du moins dans la plus belle des compétitions, risque d'être de courte durée, à moins d'une réaction rapide. | |
| | | betty 13 Admin sur kiss-tchat
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| Sujet: Re: OM 2-1 BRANN Mer 24 Sep - 18:50 | |
| OM - MONACO : match nul!
Hier soir, l'OM a encore perdu 2 points contre une "accrocheuse" équipe de Monaco à l'état d'esprit douteux par moments au stade Vélodrome. J'ai fait un article "un peu dur" après la défaite contre Liverpool en pointant du doigt notamment le recrutement de l'OM et surtout le rendement de certains joueurs nouveaux ou anciens. Je ne reviens pas sur le miracle qui a fait que cet article s'est retrouvé à la "une" de football.fr le lendemain, ce qui m'a valu insultes et autres commentaires qui en disait long sur le QI de leurs auteurs, commentaires qu'on ne peut même pas réguler une fois dans l'accroch'blog... Bref aujourd'hui je me retourne vers tous ces exités qui ont eu ce "magnifique courage" d'écrire ces choses pour un simple article de football et je leur demande leur avis sur la prestation de l'OM hier soir. Parce que de mon côté, le sentiment n'a pas beaucoup évolué par rapport au début de saison et par rapport au match de Liverpool. En effet, à part Hilton qui aura réalisé un match propre hier soir, on ne peut pas dire que Koné ait une fois de plus été percutant et que Ben Arfa soit encore en jambes. Erbate est toujours aux abonnés absents, Samassa et Mears ne sont même pas rentrés. J'étais très sceptique quant au recrutement fait à l'intersaison. Les premiers matches, même si le classement actuel est flatteur, ne sont pas là pour rassurer et ce ne sont pas les 'anciens joueurs" qui réhaussent le niveau. Je ne donne pas de noms, mais tout le monde a pu constater hier soir que ce sont toujours les mêmes qui passent au travers et couvrent des hors jeu, d'autres qui sont brouillons et encore d'autres qui ne concrétisent pas les rares occasions que l'on se crée. Je suis donc toujours inquiet et je pronostique toujours une 5ème place en fin de saison pour cette équipe dont le niveau a soit disant été amélioré à l'intersaison. Aux joueurs de me faire mentir mais je suis de plus en plus pessimiste. | |
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